À une époque de réglementations de plus en plus strictes en matière de qualité de l'air, Ruben Garcia a développé un capot qui recouvrait la cheminée d'un navire pendant qu'il tournait au ralenti dans le port, une innovation qui promettait de capturer jusqu'à 80 % de ses émissions.

Mais devant le tribunal de la faillite, l'un de ses plus de 50 créanciers allègue que les sociétés de Garcia étaient une sorte de stratagème de Ponzi, construit «aux dépens des employés, des vendeurs, des prêteurs et des investisseurs».

Les régulateurs des États ont également demandé si Garcia le travaild jusqu'à ses garanties. En novembre, ils ont fermé ses opérations au port de Long Beach après qu'il n'a pas montré que son capot fonctionnait comme prévu.

Garcia n'a pas répondu à deux demandes de commentaires pour cette histoire.

Une photo d'archives du Long Beach Business Journal de Ruben Garcia du 19 juin 2008. Photo de Thomas McConville.

L'ascension de Garcia vers la célébrité des technologies environnementales a commencé en 1992, lorsqu'il a aidé à fonder la société Advanced Cleanup Technologies. Son objectif initial était de nettoyer…

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